Jarvis vous donne rendez-vous au 4ème village de la Legaltech.

Nous vous attendons les 26 et 27 novembre prochains à la 4em édition du salon de la Legaltech, l’occasion pour nous de vous présenter nos dernières innovations et de partager un moment d’échanges privilégiés.

Nous pensons que l’avenir des métiers du Droit passe par l’adoption des nouvelles technologies au service des utilisateurs. Il est en effet aujourd’hui nécessaire d’innover afin de s’adapter aux exigences des clients et de la concurrence.

Vous pourrez à l’occasion de ce salon, découvrir nos nouveautés du moment :

–          Jarvis Analytics, l’outil décisionnel de l’avocat augmenté, une business intelligence personnalisable et intuitive qui traite, pour vous, plus de 60 données essentielles pour la rentabilité de votre cabinet. Des démos seront organisées afin de vous présenter cet outil unique et révolutionnaire.

–          Le nouveau processus de facturation, à la fois plus simple et plus puissant

–          La synchronisation des contacts permettant l’actualisation automatique des informations avec l’ensemble de vos outils (Outlook, smartphones, tablette)

–          La personnalisation de l’application à vos usages et vos pratiques pour automatiser vos tâches les plus chronophages

–          La rédaction automatisée de vos documents, collaborative et en temps réel

–          Notre programme de parrainage qui vous offre la possibilité de remporter une Tesla (cf article précédent sur notre blog).

–          Les annonces sur les prochaines nouveautés à venir (et elles sont nombreuses !).

Nous sommes persuadés du rôle essentiel de l’Humain au sein des nouvelles technologies et il est pour nous indispensable de pouvoir vous rencontrer afin d’échanger sur nos futures collaborations.

Nous vous donnons donc rendez-vous fin novembre au Salon de la Legaltech à la Cité des Sciences, Paris-La Villette.

N’hésitez pas à revenir vers nous, si vous avez besoin de précisions.

Intelligence humaine et Legaltech

Intelligence humaine et Legaltech : 2 éléments indispensables pour réussir sa transformation digitale

A travers nos différentes rencontres et expériences, nous avons constaté le besoin essentiel pour la profession d’avocat de faire évoluer ses méthodes de management, de recrutement, ses outils technologiques afin de s’adapter à une concurrence accrue, aux exigences des clients et à une évolution législative permanente.

Les structures se multipliant, les cabinets ont désormais besoin d’être rapidement rentables. Il faut dès lors identifier les leviers permettant d’atteindre cette rentabilité.

Les dernières études mettent en exergue deux points essentiels.

L’intelligence humaine est l’outil de développement numéro 1 d’un cabinet, suivi de très près par l’intelligence artificielle, ses systèmes et ses logiciels informatiques.

Ces deux points sont les deux clefs de voûte pour construire, sur le long terme, un cabinet attractif et productif.

La place centrale de l’intelligence humaine au cœur du business

Ce n’est pas une nouveauté en soit. Cependant elle mérite d’être traitée avec attention car les évolutions sociétales et les valeurs humaines sont en perpétuelle évolution depuis quelques décennies. Il faut dès lors s’adapter.

Le recrutement devient un enjeu majeur. Désormais le droit à l’erreur est limité, il faut pouvoir identifier rapidement les meilleurs éléments. C’est une course aux talents qui se joue. Pour cela, il faut se tourner vers des cabinets de recrutements, chasseurs de têtes et prendre le temps d’identifier les besoins et de cibler au mieux les profils mais aussi les personnalités qui pourront s’adapter au mieux à leur nouveau milieu professionnel. La personnalité est maintenant tout aussi importante que le profil et l’expérience professionnelle.

Par ailleurs pour satisfaire l’humain, il faut un management adapté. Le « vieux management » vertical qui prédominait dans de nombreux cabinets s’avère maintenant caduque. Il est fortement conseillé de favoriser un management horizontal, participatif et collaboratif. Les responsables pourront ainsi identifier plus facilement les hauts potentiels et ainsi les accompagner puis les valoriser. Les chiffres récents montrent que le management participatif permet un gain de productivité des équipes de l’ordre de 30%.

La montée en puissance de l’intelligence artificielle

L’autre point essentiel de développement évoqué ci-dessus est l’intelligence artificielle via les systèmes et les logiciels informatiques. En effet afin de garder un haut niveau de compétitivité et de productivité, l’avocat doit être efficace.

Pour cela, il doit être accompagné dans son travail par des logiciels informatiques efficaces qui lui offrent un gain de temps considérable dans le traitement de ses tâches. Les logiciels notamment ceux de gestion doivent être personnalisables, adaptés à tous les supports et offrir ainsi une mobilité illimitée à l’avocat. Ce dernier doit pouvoir en effet traiter ses dossiers à tout moment, peu importe le lieu. De plus, la question de sécurité, notamment des données personnelles des clients et des éléments confidentiels de dossiers traités sont un enjeu majeur.

Cette technologie est incontournable pour accompagner le business développement du cabinet, pour accroitre sa rentabilité et son attractivité. Les cabinets doivent s’équiper des meilleurs solutions. en ce sens, la legaltech est désormais un enjeu majeur pour la croissance du cabinet.

Les LegalTech au service des avocats et des professionnels du droit

Pour qu’elle soit pérenne, l’offre de service doit non seulement s’appuyer sur les technologies les plus récentes mais la Legaltech en question doit également être agile, dans son organisation et son mode de fonctionnement, pour s’adapter rapidement à un contexte en évolution permanente où l’innovation gouverne plus que jamais. C’est notamment ce qui explique pourquoi les éditeurs traditionnels ont de plus en plus de mal à suivre le rythme : leur mode de management, leurs structures de coûts, l’empilement des différentes techno au fil des années sont autant de facteurs qui les sclérosent. Ils accumulent le retard face à un environnement qui ne cesse d’accélérer.

Trop longtemps dédaigneux face à l’évolution des enjeux et à l’innovation, ces éditeurs se retrouvent confrontés à la même situation qu’ont connu en leur temps d’autres acteurs majeurs qu’on pensait pourtant inamovible. Kodak, Motorola, BlackBerry, Nokia… sont autant d’exemples qui montrent que l’innovation, la vraie, celle qui est au service des utilisateurs finaux et qui procure une réelle proposition de valeur, est issue des Legaltech qui oeuvrent sans discontinuer depuis 2012 à développer et mettre en oeuvre les solutions de demain.

Les Legaltech se sont regroupées au sein de France Digitale pour mieux servir leurs clients. A l’image de Doctrine, LegalPlace, EasyQuorum, Jarvis Legal, Caselaw Analytics, Seraphin Legal ou Lexbase, nous oeuvrons ensemble et créons des passerelles pour simplifier encore plus le quotidien des avocats et faire en sorte qu’ils puissent se concentrer sur leur coeur de métier.

L’intelligence humaine et l’intelligence artificielle sont donc au cœur du développement de votre cabinet. Ce sont deux éléments qui offrent une pérennité certaine aux yeux de la profession. Vos clients sont sensibles à la stabilité de vos équipes et aiment traiter avec le même interlocuteur compétent et à l’écoute.

Enfin les atouts de Legaltech, outre le fait d’être des leviers primordiaux de croissance, rassurent aussi vos clients car ils mettent en exergue votre capacité d’adaptation, votre modernité et votre capacité à sécuriser les données.

 

KPI cabinet avocat

Les KPI que vous devriez mesurer dans votre cabinet d’avocat



Valorisez les données de votre cabinet


En tant qu’avocat, vous êtes particulièrement à l’aise dans le(s) domaine(s) de d’expertise qui sont les vôtres. Mais dès qu’il s’agit d’accéder à une information relative à votre activité, les choses se compliquent. Par exemple, savez-vous dire en quelques secondes :
  1. Quel client ou quel collaborateur contribue le plus à la croissance ou à la réduction d’activité du cabinet ?
  2. Quel est le délai moyen de règlement de vos factures ?
  3. Combien de nouveaux dossiers ont été créés ce mois-ci ? Ce trimestre ?  Cette année ?
Suivre les performances réalisées par votre cabinet d’avocats est un facteur de plus en plus déterminant, notamment dans un environnement en très forte évolution (règlement, concurrence) et dans un contexte changeant (mutation du marché, exigences clients, perception de valeurs…). Les indicateurs de performance sont là pour vous aider à identifier les axes d’amélioration et mettre en œuvre les actions nécessaires qui vous permettront de relever les nouveaux challenges d’une profession en mutation. Par une approche systématique, méthodique et analytique d’indicateurs clés propres aux domaines de compétence de votre cabinet d’avocats, vous serez à même de prendre des décisions basées sur des données fiables et pertinentes pour optimiser votre organisation et améliorer votre productivité. Nous avons identifié plusieurs dizaines d’indicateurs qui vous apporteront une vision claire et précise de votre activité pour prendre les bonnes décisions dans le bon timing.

Pourquoi les KPI sont-ils importants pour votre cabinet d’avocats ?

Le mot KPI est un mot très à la mode depuis quelques années, notamment suite à l’essor des startups et des levées de fonds qui les accompagnent. Les entrepreneurs et les investisseurs ne jurent que par le suivi méticuleux, parfois obsessionnel, des KPI. Mais en quoi cela peut-il être utile pour votre cabinet d’avocat et votre activité en particulier ? Les indicateurs clés de performance, ou KPI, sont des indicateurs métiers qui mesurent la performance de votre activité et de votre organisation. Les KPI vous fournissent des informations et des données chiffrées qui vous permettent de répondre aux enjeux de votre cabinet. Ils doivent donc être mesurables, uniques et orientés spécifiquement vers votre activité propre. En apprenant à identifier, mesurer et exploiter ces indicateurs de performance spécifiques, les KPI de votre cabinet vous fournissent :
  • Une performance mesurable : Il y a une grande différence entre collecter de la donnée et l’analyser. Si vous souhaitez déterminer si vous avez été performants ou pas, vous devez d’abord déterminer vos objectifs. En identifiant et en suivant vos indicateurs de performance, vous pouvez donc mieux mesurer la réussite de votre cabinet.
  • Responsabilité : Si vous n’avez pas défini les KPI à suivre, il est difficile de savoir qui ou quoi est responsable des réussites ou des échecs rencontrés. Ce qui rend d’autant plus difficile leur reproduction ou leur évitement futur. Sélectionner et suivre des indicateurs de performance particuliers permet ainsi de mieux identifier les facteurs de succès.
  • Prévisibilité :  En l’absence de KPI, vous êtes contraints de spéculer sur les événements positifs ou négatifs qui pourraient survenir au sein du cabinet. Avec des indicateurs clés en place et facilement consultables, il est désormais facile d’anticiper et de mettre en œuvre les actions qui auront le plus de chance de réussir.
  • Automatisé : Une fois vos KPI en place et un système de suivi entièrement automatisé, l’exploitation des données est relativement simple. Vous n’avez plus qu’à réserver un peu de temps dédié à l’analyse de vos données et ainsi identifier les comportements types (bons ou mauvais). Vous avez dès lors une vision claire des opportunités d’ajustement à réaliser.
Lorsque vous utilisez un logiciel pour avocat tout-en-un comme Jarvis Legal pour gérer vos dossiers, contacts et factures, l’un des principaux avantages est qu’il devient très facile de créer des tableaux de bord et visualiser les informations pertinentes autour des principaux KPI. Toutes les données sont centralisées et mises à jour en temps réel, simplifiant le suivi et l’exploitation des KPI.

Comment choisir les meilleurs KPI pour votre cabinet d’avocats ?

S’il est évident qu’il est vital de mesurer la performance du cabinet pour en déterminer les forces, reste désormais à identifier les KPI qui importent et qui correspondent à votre cabinet et à votre pratique. Tous les KPI ne sont pas nécessairement utiles à la bonne compréhension de l’activité de votre cabinet. Vouloir suivre tous les indicateurs de performance disponibles n’aura que peu de sens et risquera de noyer l’information plutôt que de la mettre en exergue. Vous devez donc en premier lieu vous demander quels sont les objectifs principaux de votre cabinet et quelle est votre définition du succès. Voici les questions essentielles à vous poser avant de définir les KPI à suivre : 1. Qu’avez-vous besoin de mesurer ? Lorsqu’il s’agit d’envisager les données qu’on peut suivre, les possibilités sont quasi illimitées. Commencez par déterminer quels types de données sont susceptibles de vous fournir des informations pertinentes pour votre activité et quelles sont les données nécessaires pour obtenir ces informations. 2. Quelles sont les informations qui sont déjà en votre possession ? Il va sans dire qu’il est impossible de suivre des données que vous ne possédez pas. La première étape pour établir votre liste de KPI consiste donc à identifier les données qui vous sont accessibles au sein de votre solution de gestion.
  • Etablissez une liste des données disponibles.
  • Identifiez s’il existe un écart entre l’information que vous souhaitez obtenir et les données accessibles.
  • Vérifiez si votre cabinet utilise des applications qui sont intégrées les unes aux autres afin d’interroger et d’utiliser au mieux les données.
3. Quels sont vos objectifs ? Êtes-vous spécialisé dans le droit de la famille, le contentieux ou les fusions & acquisitions ? Êtes-vous en contact une seule fois seulement avec votre client ou, à l’inverse, êtes-vous amené à réaliser des actions répétées dans les prochaines années pour son compte ? Chaque cabinet se doit de fixer ses propres objectifs avant de choisir ses KPI car ils sont spécifiques à votre activité.

Les KPI à suivre

« Seul ce qui se mesure peut-être géré. » Quel que soit les KPI que vous choisissez de suivre, il est important de garder en tête qu’aucun d’eux n’a de sens sortis du contexte qui est le vôtre. Le domaine de compétence, la forme du cabinet, le type d’association, le fonctionnement entre associés sont autant de paramètres qui influent directement sur les KPI et leurs analyses.

KPI Marketing

Les cabinets d’avocats, tout comme les entreprises, sont en situation d’échec lorsqu’ ils dépensent plus qu’ils ne gagnent. Il ne suffit pas dès lors de mesurer les indicateurs relatifs à la facturation à l’heure traditionnelle. Votre cabinet peut comprendre sa situation de trésorerie actuelle et future en suivant les KPI Marketing suivants :
  • Nombre d’actions marketings engagées
  • Marketing budget ratio (ratio entre le montant total des dépenses marketing et le total des honoraires facturés)
  • Marketing coût par client (ratio entre le total des dépenses marketing to sur le montant total facturé aux clients)
  • Trafic sur le site web du cabinet
  • Email marketing performance.
  • Conversions sur les landing page du cabinet

KPI Acquisition Client

Les nouveaux clients sont importants pour la croissance du cabinet et sa pérennité, les trouver et les convaincre s’avère cependant être une tâche ardue. Suivre les KPI ci-dessous vous permettront d’identifier ce qui fonctionne correctement pour votre propre cabinet sur l’acquisition de nouveaux clients :
  • Coût d’acquisition des nouveaux clients
  • Nombre de nouveaux dossiers ouverts
  • Nombre de nouveaux clients.
  • Nombre de nouveaux clients par source (site web, emailing, salons…)
  • Revenu moyen par nouveau dossier
  • Nombre de rendez-vous planifiés
  • Nombre de prospects qui se sont présentés au rendez-vous de consultation
  • Nombre de prospects convertis en clients

KPI Gestion de la relation clients

Une fois que vous avez acquis un nouveau client, il est essentiel de développer la relation avec ce dernier. Pour mieux comprendre le fonctionnement de votre base client, intégrer les indicateurs suivants dans votre suivi :
  • Nombre de dossiers clôturés
  • Montant moyen facturé par dossier clôturé
  • Taux de croissance client
  • Taux de clients inactifs (ratio entre le nombre de clients pour lesquels aucun dossier n’est actif sur le total des clients du cabinet)
  • Honoraires moyens par client
  • Honoraires moyens par nouveaux clients
  • Croissance des honoraires sur les 10 meilleurs clients
  • Domaine de compétence par client
  • Nombre d’avocats intervenants par client
  • Nombre de dossiers par client

KPI Productivité

Un cabinet d’avocats efficace est un cabinet profitable. Pour autant, cela reste une difficulté majeure pour nombre de cabinet d’avocats. Suivre la productivité du cabinet permet d’identifier rapidement les sujets chronophages et ceux qui ne sont pas suffisamment traités alors qu’ils sont des opportunités pour générer plus de revenus. Voici quelques indicateurs clés pour suivre la productivité du cabinet :
  • Nombre d’heures facturables
  • Taux d’efficacité (nombre d’heures facturables sur le nombre d’heures d’une journée de travail type)
  • Ratio du nombre d’heures facturées sur le nombre d’heures travaillées non facturables
  • Nombre de jours sans heure facturée
  • Nombre de jours non réclamés

KPI Performance Individuelle

Alors que les indicateurs clés pour le cabinet sont utiles pour mesurer la performance globale et le succès de votre cabinet, vous êtes certainement attentif à la performance individuelle de chaque collaborateur au sein de vos équipes. Les indicateurs clés suivants peuvent vous aider en ce sens :
  • Dépenses mensuelles
  • Taux moyen facturé
  • Taux moyen facturable
  • Pourcentage d’heure d’associées
  • Nombre de dossiers ouverts
  • Nombre d’heures facturables par assistante
  • Nombre de dossiers apportés au cabinet
  • Origine du revenu apporté au cabinet
  • Nombre de tâches complétées

KPI Financier

Bien sûr, les aspects financiers, la profitabilité et les marges sont autant de critères de réussite ou d’échec pour votre cabinet d’avocats. Aussi, les indicateurs ci-dessous requièrent une attention bien spécifique :
  • CA facturé par mois
  • Write-off (montant facturé sur total des heures facturables)
  • Encaissement mensuel
  • Taux d’encaissement (montant encaissé sur le montant total facturé)
  • Croissance annuelle actualisée (Revenu annuel projeté sur la base du CA réalisé au cours des 3 derniers mois)
  • Dépenses annuelles actualisées (total des dépenses annuelles anticipées, incluant les salaires, basées sur les coûts des 3 derniers mois)
  • Différence entre la croissance annuelle actualisée et les dépenses annuelles actualisées
  • Balance de compte d’exploitation
  • Montant des impayés
  • Balance âgée
  • Overhead net moyen (coûts de fonctionnement directs par salarié)
  • Honoraires moyens par dossier
  • Honoraires moyens par nouveau dossier
  • Taux de facturation moyen
  • Montant de CA par mètre carré
  • Montant de CA par employé
  • Montant de CA par dossier

KPI État d’esprit du cabinet

Voir plus loin que les indicateurs financiers ou liés à la productivité est également riche d’enseignement. C’est en effet l’opportunité de mesurer l’état d’esprit des collaborateurs, le niveau d’adhésion aux valeurs et à la culture du cabinet. Ces indicateurs sont des révélateurs sur la santé de votre cabinet qui sont trop souvent négligés alors qu’ils peuvent avoir un impact direct sur les relations avec vos clients et plus largement sur l’activité du cabinet.
  • Niveau de satisfaction des salariés et collaborateurs
  • Ratio départs/arrivées au sein du cabinet

6 étapes pour utiliser les KPI au sein du cabinet

Maintenant que vous avez une idée plus précise des indicateurs à suivre au sein de votre cabinet, que devez-vous réellement faire pour les utiliser à votre avantage ? Nous vous conseillons de suivre les 6 étapes suivantes :
  • Choisissez les KPI pertinents pour votre activité. Assurez-vous de bien comprendre les KPI que vous utilisez et que vous disposez des bonnes données pour les alimenter.
  • Fixer des objectifs. Assurez-vous que vos objectifs peuvent être mesurés et qu’ils correspondent à la stratégie fixée par le cabinet.
  • Accumulez les données pour chaque KPI. Alors que certains KPI peuvent fournir des informations pertinentes instantanément, d’autres nécessitent une accumulation de données sur plusieurs mois pour pouvoir en dégager une tendance.
  • Mesurez les résultats. Consultez vos tableaux de bord au moins une fois par mois et analysez-les rapidement pour prendre les mesures qui s’imposent.
  • Arbitrez. Fort des informations récoltées et des analyses réalisées, vous prenez les bonnes décisions pour corriger ce qui doit l’être. L’important est que vos décisions et actions restent cohérentes avec les objectifs de votre cabinet.
  • Répétez le cycle. Votre travail n’est pas terminé. Une fois que vous avez agi sur la base des données récoltées, vous aurez le souci de revoir régulièrement vos KPI pour vous assurer que vous récoltez les bonnes données, que vous vous êtes fixés les bonnes cibles et que vos efforts ont bien un impact positif sur les éléments que vous cherchez à améliorer.

Conclusion

L’intégration des indicateurs de performance clés dans la planification de votre entreprise vous permet de créer un tableau de bord personnalisé pour surveiller et faire évoluer le succès de votre cabinet d’avocats. En définissant des objectifs spécifiques, puis en suivant et en mesurant les indicateurs de performance clés, vous pouvez envisager de prendre des décisions plus efficaces au nom de votre cabinet d’avocats, de vos clients et de votre personnel. La mise en place de tableau de bord est particulièrement simple si vous utilisez Jarvis Legal. Avec le module Jarvis Analytics, il est désormais possible pour chaque avocat d’accéder à tous les indicateurs clés qui leur permettront de piloter leur activité sur la base d’informations pertinentes, fiables et disponibles à tout instant et en tout lieu. Cliquez sur le lien pour nous en dire plus sur vos besoins : Formulaire .

Jarvis Legal présente JARVIS ANALYTICS

Longtemps les avocats ont dû piloter leur activité sur la base d’informations imprécises voire erronées, datées et qui nécessitaient des jours et des heures de reporting pour un résultat souvent insatisfaisant.

Pour éviter cet écueil, coûteux en temps et en énergie, Jarvis propose désormais aux avocats une innovation majeure qui valorise enfin les données clés du cabinet.

Une innovation majeure pour les cabinets d’avocats

Jarvis Analytics est une business intelligence unique qui met en exergue les chiffres clés du cabinet. Vous pouvez désormais croiser toutes les données qui vous importent et qui donnent du sens à votre activité, de la plus simple à la plus avancée.

Voici quelques exemples :

– taux horaire moyen facturé
– montant des impayés actualisé en temps réel
– top 10 des clients et des dossiers
– CA par associé et par collaborateur
– évolution du niveau de facturation par rapport au mois précédent
– des encaissements
– etc…

Ce sont plus de soixante indicateurs clés qui peuvent être visibles en un seul et simple clic. Le gain de temps est colossal, la visibilité de votre activité optimale.

Les associés d’un cabinet disposent désormais d’informations statistiques et financières mises à jour en temps réel pour piloter leur activité.

Doté d’un affichage dynamique, les associés peuvent zoomer sur une information particulière, en analyser les détails et même les exporter sur un tableau Excel.
Ils ont également accès aux filtres permettant de mieux cibler l’analyse recherchée.

Le tableau de bord est disponible sur tous les équipements mis à disposition des associés : PC, Mac, iPhone, iPad ou mobile Android.
Ils peuvent ainsi consulter à tout moment les informations à jour.

Jarvis Analytics est un outil d’exception qui va changer la vie des avocats.

Le gain de temps, la visibilité sur les indicateurs essentiels de croissance, la facilité d’utilisation de l’outil vont changer le mode de vie au sein des cabinets.

Rentabiliser son temps et faire les bons choix nécessitent de disposer des bonnes informations, actualisées.
Grâce à Jarvis Analytics, les associés y ont enfin accès.

Pour toutes informations complémentaires, visitez le site web que nous lui avons dédié et la vidéo de présentation qu’il contient : https://bi.jarvis-legal.fr

 

Solution de gestion mobile : élément indispensable de l’avocat augmenté

Préoccupation moderne s’il en est, trouver l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée tend parfois à devenir un véritable casse-tête pour les avocats et les avocates, voire même une idée sympathique mais somme toute assez utopique. Pourtant, des solutions de gestion de cabinet mobiles existent aujourd’hui pour vous faciliter la vie au quotidien et permettre une meilleure articulation vie personnelle/vie professionnelle.

Les avocats et la tentation de la start-up LegalTech

Nombreuses sont les LegalTech portées par des avocats outre-Manche. Pourtant en France, le phénomène reste marginal en raison des nombreuses embûches qui attendent les avocats créateurs de LegalTech. Les obstacles résultent de divers facteurs, à la fois capitalistique mais aussi résultant d’un problème de compétences comme d’évolution des mentalités. Le point sur la tentation de la start-up LegalTech.

Avocats et LegalTech : occasion à saisir ou danger potentiel ?

C’est un fait auquel aucun professionnel du droit ne peut désormais échapper : le marché du droit est entré dans une nouvelle ère. Les révolutions technologiques bouleversent le droit et interrogent l’avenir : spectre de l’ubérisation du droit, fantasme du robot avocat, etc. Nouveaux acteurs arrivés sur le marché en France depuis les années 2010, les LegalTech cristallisent ainsi un certain nombre de chimères et d’idées reçues. Alors, sont-elles réellement une menace pour la profession d’avocat ? Le point dans cet article.

 

L’émergence des LegalTech : entre disruption et bouleversement du marché du droit

Foncièrement disruptives, les Legaltech cassent les codes et provoquent un bouleversement du marché du droit.

 

Une différence de positionnement sur le marché du droit

L’arrivée des LegalTech permet avant tout une démocratisation de l’accès au droit. En effet, les LegalTech ont l’avantage de rendre plus accessible le droit, qui disons-le clairement, en a bien besoin… !

Elles viennent donc combler un manque, un vide dans le marché du droit. En proposant une information juridique simple et générale, certaines LegalTech s’adressent à des clients ignorés par les avocats car à faible potentiel ou bien à ceux qui n’oseraient pas franchir la porte d’un cabinet.

Et si ces « petits » conseils suffisent parfois dans certains cas, le meilleur exemple se trouve dans les modèles d’actes juridiques tels que les statuts de société, les clients se heurtent parfois à leurs limites. Pour aller au-delà du modèle général, l’expertise d’un avocat se révèle ainsi bien souvent indispensable pour délivrer une analyse précise, personnalisée et détaillée.

 

Nouveaux marchés, nouveaux défis

Ainsi, les LegalTech identifient de nouveaux besoins de la clientèle en captant un segment de marché délaissé par les avocats. S’emparer de ces nouveaux marchés devient alors une possibilité à exploiter pour les avocats qui devront repenser leur offre de service pour s’adapter à cette nouvelle concurrence.

Que peuvent faire les avocats ? Conquérir ces nouveaux marchés passe par la mise en place d’une proposition de valeur différente, à forte valeur ajoutée mais aussi plus chère et couplée avec une désormais indispensable présence numérique. Proposer une offre de services et des tarifs plus transparents est également un atout des LegalTech dont les avocats devront s’emparer pour séduire les clients.

Autre piste à étudier, le « guichet unique du droit » rassemblant les professionnels du droit. Cette synergie des compétences est d’ailleurs encouragée par le législateur qui a rendu possible l’interprofessionnalité depuis la loi du 6 août 2015.

 

Les nouveaux horizons dégagés par les LegalTech : rupture et innovation

De cette disruption naît de nouvelles opportunités. La LegalTech loin de constituer une menace planante, vise plutôt à devenir une aide indispensable à l’avenir.

 

Une assistance au quotidien dans la gestion du cabinet

Si certaines LegalTech offrent des services entrant directement en concurrence avec les avocats, ce n’est pas le cas de toutes. D’ailleurs, la concurrence de ces Legaltech est clairement à relativiser car elle intervient principalement sur un segment plutôt low-cost du marché du droit.

En réalité, il faut se rappeler que l’essence et la raison d’être initiale des LegalTech sont d’être des technologies au service du droit. C’est ainsi le cas de la grande majorité des LegalTech qui viennent apporter une aide et une assistance au quotidien aux professions du droit grâce à de nouveaux outils. Elles sont aux côtés des avocats pour leur proposer des solutions innovantes et surtout opérationnelles au quotidien.

Elles offrent la possibilité de se débarrasser des tâches ingrates, chronophages et répétitives grâce à une rédaction d’actes automatisée, une simplification de la facturation et du travail collaboratif, etc. Les solutions de gestion de cabinet comme Jarvis Legal permettent par exemple de piloter de façon efficace et innovante son cabinet au quotidien. D’autres possibilités qui n’en sont qu’à leurs débuts existent dorénavant grâce aux LegalTech : sécurisation des documents via la Blockchain, développement de bases de données juridiques basé sur l’intelligence artificielle, etc.

 

La possibilité de se réinventer : vers l’avocat augmenté

Adopter ces nouveaux outils permet bien souvent pour les professionnels un gain de temps considérable et une amélioration de la productivité. La seule question qui subsiste est celle-ci : comment réemployer efficacement ce temps gagné ? L’avocat peut alors se concentrer sur sa valeur ajoutée, la part de son travail irremplaçable par la machine.

Autrement dit, l’avocat de demain sera focalisé sur le conseil personnalisé, spécifique et adapté à chaque situation. C’est à ce titre que le développement et l’amélioration de la relation client sera capital à l’avenir. En réalité, on voit bien que chacun à vocation à rester dans sa sphère de compétences : les Legaltech apportent une aide, un appui, mais pas question pour elles de faire du conseil juridique car ce n’est pas leur cœur de métier.

Comme le montrait Schumpeter, si l’innovation est destructrice, elle est aussi et surtout créatrice. L’émergence des LegalTech pousse les avocats à se renouveler et à se réinventer pour devenir des avocats « augmentés » qui sauront tirer parti des nouvelles opportunités offertes par les technologies.

 

Aujourd’hui, les LegalTech constituent évidemment une réelle opportunité pour les avocats. Avec leur potentiel d’agilité et de créativité, elles bousculent le monde traditionnel du droit. Il ne reste plus qu’un pas pour qu’elles soient totalement intégrées dans l’écosystème juridique sur le modèle des États-Unis, où elles se développent à grande vitesse depuis les années 2000.

L’open data des décisions de justice

En 2016, plus de trois millions de décisions, contentieux civil et pénal confondus, ont été rendues dans les tribunaux. Pourtant, Legifrance n’en a diffusé qu’environ 13 000, soit 3 à 4 % du total seulement… Mais avec la loi de programmation pour la justice du 23 mars 2019, la révolution de l’open data des décisions de justice est semble-t-il en marche. Justiciables et professionnels du droit pourraient bénéficier de cette nouveauté majeure. Alors, qu’attendre au juste de l’ouverture des données de la justice ?

people-in-couch-1024248-min

Menaces informatiques en hausse : votre cabinet est-il réellement bien préparé ?

Aujourd’hui, les cyber attaques sont en hausse dans toutes les entreprises. Et les cabinets d’avocats sont loin d’être épargnés par ces attaques protéiformes. Cibles de choix pour les hackers en raison des données sensibles, confidentielles ou stratégiques qu’ils manipulent, les avocats se doivent d’anticiper pour se protéger efficacement. Alors, quelles sont les bonnes pratiques à adopter pour lutter contre les menaces informatiques croissantes ?

Avocats : soignez votre relation client

Une bonne relation client constitue le pilier d’un cabinet qui marche. Pourtant, la satisfaction client reste le maillon faible de nombreux cabinets. Certains clients vont même jusqu’à estimer que les avocats ne constituent pour eux qu’une « poor value » pour reprendre les termes d’une étude menée auprès de 20 000 clients. Alors, comment lutter contre cette perception ? Voici quelques actions clés à mettre en œuvre pour soigner votre satisfaction client.